PAS DE SABLE CHEZ MOI, VOUS M'ENTENDEZ
L'aviez-vous remarqué ? Depuis quelques jours, le sable a envahi notre espace quotidien.
Comment a-t-on pu laisser pareille intrusion se produire dans notre belle ville pavée, goudronnée, maçonnée ?
Soyons clair dans notre propos, car nous voyons poindre la levée de boucliers des Parisiens enfermés intra-muros, en manque flagrant de sensations estivales : nous n'avons rien contre le moëlleux revêtement dans l'absolu, mais ce sable-là, jeté comme une poudre aux yeux sur les voies et les parcs parisiens est vicieux, pire même : il est pernicieux !
Les quais sont ensablés, et l'on ne peut plus rouler le long des berges...
Le Champ de Mars accueille le championnat du monde de Beach Volley, et l'on ne peut plus y flâner paisiblement...
Le sable, partout dans Paris, va se répandre comme une pandémie et obstruer lentement la circulation jusqu'à l'agonie...
Réagissons avant de finir complètement bloqués, en exigeant qu'on nous installe aussi des sables mouvants !
Maboul part en vacances 3 semaines, tâter le sable là où il est naturellement à son avantage : Bretagne, puis Egypte